Demain, je partirai et je garderai en moi votre souvenir brulant qui ne peut s‘eteindre que quand nous nous reverrons. Le moteur de l‘avion tournait bruyamment et des escaliers se remplissaient des passagers impatients de s‘y installer.
Les yeux du compagnon luisaient de tristesse alors que les miens pleuraient a grosses gouttes. Tu seras bientot chez toi et je t‘ecrirai au quotidien, cent fois avec jour, me rassura-t-il. Je l’embrassai une derniere fois, aussi que l‘hotesse menacait de fermer la porte si je ne me decidais gui?re a monter.
L‘avion decolla et je vis sur le tarmac la peau de l‘homme reduire peu a peu, dans une immobilite de statue. Jätka lugemist